Le (presque) monde met en lumière un monde augmenté de l’élement perturbateur, le grain de sable dans le paysage idyllique, une sorte de «photo-bombing» chaotique et non-prémédité.Principalement centré sur la nature humaine, ses créations et attitudes imprevisibles, cet ensemble fait dialoguer l’espace et l’aléatoire, le réel et la virgule flottante.

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Beirut ma bet mut

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Tout autour (patterns)